Prix au m2 de l'immobilier à Surzur : derniers chiffres (56450)

À Surzur, le prix du m² est de 3 526 €/m². Sur le dernier semestre, la tendance immobilière continue de s'améliorer avec 6,40 % de croissance. La valeur des parcelles constructibles se situe aux alentours de 299 €/m².

Ville	Prix du m2	Evolution sur 6 mois
Surzur (56450)	3 526 €/m2	+6 %
Le Tour-du-Parc (56370)	3 646 €/m2	+5 %
Damgan (56750)	4 621 €/m2	+1 %
Theix-Noyalo (56450)	3 229 €/m2	-6 %
Séné (56860)	3 771 €/m2	-5 %
Sarzeau (56370)	4 452 €/m2	-8 %

1 560 familles logent à Surzur. 43,5 % de ces foyers sont des couples avec un ou plusieurs enfants. 48,0 % sont des couples sans enfant et 8,4 % sont des familles monoparentales. La population de Surzur est constituée de 19,6 % d’enfants de moins de 15 ans et 29,5 % de plus de 60 ans. Au niveau national, le taux de moins de 15 ans est en moyenne de 16,9 %. La gent féminine est plus présente avec 50,8 % sur l'agglomération. Concernant les impôts locaux, les habitants doivent payer d'un taux de 18,3 % de taxe d'habitation et 43,4 % de taxe foncière. La ville cumule 1 019 euros par habitant de dette. Le revenu fiscal de référence de la ville s'élève à 38 044 euros contre 29 459 euros en moyenne en France. Le taux de chômage dans la commune a atteint les 7,0 %. En comparaison, celui de la région Bretagne est de 9,2 %. Par ailleurs, 88,2 % des habitants salariés de Surzur sont en CDI et 17,7 % sont des cadres.

La superficie des habitations fluctue avec 11,06 % de 3 pièces, 0,38 % de studios et 63,97 % d’habitations de 5 pièces et plus. À Surzur, les 5 110 habitants de la ville occupent 2 374 habitations, ce qui représente une moyenne de 2,11 habitants par logement. Pour une superficie de 57 km2, la densité de population est de 79 habitants/km². Les résidents de Surzur sont moins locataires que propriétaires. Ces derniers représentant 77,83 % des occupants de logements. La commune du Morbihan se caractérise aussi par une part de maisons de 90,48 % et un pourcentage d’appartements de 7,92 %. Ensuite, 3,83 % des habitations sont des logements vacants et 87,57 % sont des résidences principales. Dans l'Hexagone, le pourcentage de logements vacants ne dépasse pas les 8,61 %. Le parc immobilier de la ville a augmenté de 14,36 % sur cinq ans.