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Chroniques de Michel Van Den Berghe
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PDG / Gérant, Orange Cyberdefense
Michel Van Den Berghe est CEO d’Orange Cyberdefense depuis le 1er juillet 2014. Il a rejoint le groupe Orange en janvier 2014 suite au rachat d’Atheos dont il était le Président Fondateur depuis 2002.
Il est également le fondateur des Rencontres de l’Identité, de l’Audit et du Management de la Sécurité (RIAMS) qui rassemblent depuis 2004 les principaux responsables et donneurs d’ordre du domaine de la sécurité des Systèmes d’Information.
Michel Van Den Berghe est diplômé de la Faculté polytechnique de Mons.
Voir le site web : Orange Cyberdefense
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Dernières chroniques de Michel Van Den Berghe
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Les annonces d'entreprises, de collectivités ou d'hôpitaux victimes de cyberattaques se multiplient. Au-delà des actions techniques pour stopper le piratage, le chantier de la communication contribue à limiter les effets de bord liés à ces opérations déstabilisantes.
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Comment se préparer à l’inattendu ? La crise cyber est un amplificateur de la somme des petites défaillances qui minent les organisations. Face à de tels risques, les dirigeants doivent s’approprier le processus de préparation à une cyberattaque. Ils découvriront à cette occasion les interconnexions qui structurent leur entreprise.
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Les pirates choisissent leur cible, leur mode opératoire et le calendrier qui les arrange pour passer à l’action. Faute de disposer de toutes les compétences utiles en permanence, les entreprises doivent concevoir des stratégies d’alliance pour assurer leur cybersécurité.
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Les grandes entreprises ont désormais l’obligation de déclarer leurs incidents de cybersécurité. La création d’un Centre de détection (SOC) semble la réponse affichée par tous. Mais elle est vaine si certaines précautions indispensables ne sont pas prises.
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La transformation numérique des organisations s’accompagne d’une prise en compte accrue du risque numérique. Et les actifs piratés ont tendance à se diversifier.
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La multiplication des connexions informatiques et des outils de pilotage automatisés sont certainement des facteurs de productivité. Mais ils pourraient constituer autant de points de faiblesse si leur sécurité n’était pas suffisamment prise en compte.
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Dans une enquête conduite à l’échelle internationale, le Nasdaq pointe du doigt la faible implication des états-majors d’entreprises sur le sujet de la sécurité numérique. Alors que leurs organisations n’ont jamais été aussi exposées.
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Après Standard & Poor's c’est maintenant au tour de Moody's d’afficher la cybersécurité parmi les critères d’évaluation des entreprises qu’elles passent au crible. Le risque encouru est tel que les investisseurs doivent être informés du niveau de protection face aux cyberattaques.
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Les stratégies de transformation numérique des entreprises sont indispensables à la prise en compte des nouvelles formes de concurrence. Mais elles doivent inclure la sécurisation du patrimoine informationnel. Au risque sinon d'assister au pillage de celui-ci.